Depuis avril 2018, nous sommes 2 de chez Mille-Alliance à travailler pour un grand groupe hôtelier au sein de la direction Communication Interne et Partenaires France, Europe du Sud et Europe.
En binôme avec Élise qui s’occupe de la partie graphique, j’ai pour mission d’animer une plateforme de communication interne.
Concrètement, comment cela s’articule avec une prestation de conseil ?
Mettons-nous d’abord dans l’ambiance. Il est 17h, la veille du jour J pour annoncer le lancement d’un nouvel outil. La communication est prête, revue à la virgule près par les commanditaires, et le créneau réservé depuis plusieurs semaines. Soudain, coup de théâtre. La mise en ligne est reportée. Rien de très surprenant me direz-vous : les changements de dernière minute sont un risque résiduel en communication. Cependant, la situation est embarrassante pour qui n’a pas anticipé son planning éditorial (et qui, par conséquent, n’a pas d’actualité à se mettre sous la dent).
L’objectif n°1 de la mission a été d’avoir une meilleure réactivité au niveau de la production de contenu. Il a donc fallu :
- Faire adopter un outil de planification qui soit : modulable à souhait, doté d’une interface « user-friendly » et donnant une information complète en temps réel aux différents membres de l’équipe
- Entretenir un lien régulier et fiable avec les commanditaires d’article en établissant : un référent identifié pour la production d’article, des règles de contribution, des indicateurs de mesure, analyses, et des points trimestriels avec tous les services pour anticiper les actualités à venir
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cela a été contagieux ! L’outil de planification a été dupliqué pour la gestion d’une autre plateforme, cette fois-ci à destination des clients du groupe hôtelier . Aussi, les points trimestriels ont été mutualisés pour les 2 plateformes – bien que leurs destinataires soient différents – pour plus de synchronisation entre elles.
Alors que les processus sont toujours en cours de stabilisation, nous trouvons également de l’énergie pour réfléchir à d’autres sujets. Par exemple, utiliser le graphisme comme vecteur de pédagogie et producteur de contenu exportable (donc multi-usages) ; faire remonter les informations depuis le niveau opérationnel pour dégager des tendances et les diffuser à l’ensemble du réseau, ou encore, faire évoluer la ligne éditoriale avec la transformation de l’entreprise qui passe du B2C au B2B. Ce dernier point n’est pas une mince affaire car il s’agit bien là d’un changement de métier qui nécessite du temps… et souvent de la patience. Toutefois, les soupapes solides, nous cheminons petit à petit vers la professionnalisation du processus de contribution. Et le planning est toujours plein !